J’ai pris le temps d’accueillir ces différents ressentis et ce qui demeure, au final, est un sentiment de joie et de gratitude :
- joie de voir que la CNV est de plus en plus connue (même si elle n’est pas dans un premier temps vue et comprise pour ce qu’elle est, au fond)
- gratitude envers Marshall qui a œuvré toute sa vie durant pour élaborer et transmettre ce processus
dont l’intention est, selon ses mots de « créer une qualité se connexion entre soi et autrui qui permette à la compassion de se vivre dans le donner et le recevoir de façon naturelle ».
Enfin si vous avez envie de passer un bon moment, je vous recommande chaleureusement ce film, qui, comme la plupart des films d’Agnès Jaoui, m’a autant fait rire que pleurer, ce qui m’a rappelé la phrase de Marshall : « À mon avis, le but dans la vie n’est pas d’être toujours heureux, mais de rire de tous nos rires, et de pleurer de toutes nos larmes. »